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Assassinat de lieutenant Azali Abdourrahmane. 

Certains éveillés des habitants de Hahaya commencent à se réveiller sur le meurtre avec préméditation du lieutenant Azali.Il y a beaucoup de complices indirects de la ville de Hahaya dans cette élimination ciblée du jeune officier de 30 ans . À commencer par le maire de la ville de Hahaya qui a organisé une réunion des habitants de Hahaya, dans la précipitation pour une interrogatoire ciblée. La cible est bien entendu le service funéraire de Hahaya en général et en particulier le laveur mortuaire principal .Cette interrogation est mal perçue par les amis du lieutenant, qui estiment que la procédure n'était pas au rendez-vous.Le maire de Hahaya devrait organiser une conférence de presse et inviter tous les témoins pour répondre aux questions des journalistes. Les témoins sont nombreux à Hahaya. Le service mortuaire, le colonel Naoufal qui a vécu les derniers minutes du lieutenant Azali ; la famille du lieutenant et bien entendu les ses camarades et frères d'armes.Un jeune lieutenant de 30 ans ne meurt pas subitement sans raison ni cause. En procédant autrement,le maire de Hahaya aurait quelques choses à se reprocher . Pourquoi transformer une audition d'un service mortuaire public en une intimidation publique verbale ? 

Croyez-vous en un seul instant que le laveur du corps du jeune lieutenant Azali allait révéler la vérité en sachant ce qu'il courait , d'un régime qui a a abrégé les vies de Gazon , Fahad, Mouslim , Djaza, major Bapale ?Ce maire a un travail à faire pour convaincre le peuple comorien.Un maire devrait d'être exigeant professionnellement. Son enquête doit recommencer. Il doit réécouter le discours du dernier hommage rendu par ses camarades d'armes :« le colonel Gazala est un homme de caractère ; courageux et bienveillant. Son sourire chaleureux, sa générosité touchante ont laissé une empreinte indélébile sur tout ceux qui l'ont connu.Aujourd'hui nous nous souvenons de sa bravoure, de son intégrité et de son amour pour son pays. Son héritage inspirera les générations futures et son sacrifice restera gravé dans nos mémoires.Son sacrifice restera gravé dans nos mémoires .Son sacrifice restera gravé dans nos mémoires.Alors cher maire de Hahaya vous êtes maire d'une des grandes villes dItsandra, vous êtes le maire du chef-lieu de Hamanvou et vous faites semblant de ne pas comprendre la signification du mot sacrifice ?Pourquoi Naoufal Boina colonel de l'armée qui avait tué son prédécesseur de la santé militaire pour lui piquer le poste et qui a été le dernier médecin qui avait consulté , le jeune lieutenant Azali ,avant de l'évacuer d'urgence à El-Maarouf ne parle pas ?Monsieur le maire de Hahaya Pourquoi vous ne demandez pas à Naoufal de s'exprimer sur les causes de la mort du jeune officier ? Certains proches du lieutenant vont parler et nous ne pouvons pas révéler tout ce que nous savons avant que vous ne fassiez votre travail normalement. Certains frères d'armes du lieutenant Azali sont doublement en état de choc dépressif. Ils ont perdu leur frère et la hiérarchie cherche à cacher les causes. Pour les plus proches du jeune officier Azali, leur silence est une trahison en vers leur frère d'armes. Certains connaissent les éléments de loukman Azali qui ont donné les derniers coups mortels à Azali. Le jeune lieutenant de 30 ans, Azali n'était aussi stupide que ça. Il a confié ce qui lui est arrivé à des proches qui ne font qu'attendre le moment opportun pour avouer. Le jeune Azali est assassiné à cause de son bravoure reconnu par sa hiérarchie. Il est enterré dans la précipitation pour empêcher toute tentative d'autopsie. Les corps militaires dépêchés à Hahaya lors de ses funérailles n'étaient pas là pour lui rendre hommage. Ils étaient là pour empêcher toute tentative d'actes qui pouvaient soulever le doute. Azali est enterré dans la précipitation à Hahaya le 05 juin 2024 à 8 heure du matin, sans qu'aucun médecin de la famille puisse examiner son corps et sans aucune conférence de presse de leur part, ni de Hahaya, encore moins du corps militaire de l'armée pour tenter d'expliquer les circonstances de sa mort.Nous espérons que cette nouvelle affaire d'assassinat du jeune lieutenant ne sera pas échangé contre un poste ministériel ou de direction d'un proche comme fut le cas Djounaid de sonelec contre son cousin le commandant Faycel Abdousalam.Repose en paix lieutenant Azali.Comme disait son frère d'armes lors de son dernier hommage :« son sacrifice restera gravé dans nos mémoires. »Voir les statistiquesBooster une publicationJ'aimeCommenter

Il s'appelle Azali ABdourahaman .

Il est de Hahaya, né dans cette même ville en 1994 .Il a eu son BAC au Lycée Said Mohamed Cheick de Moroni ; Le bachelier s'envole vers la grande Ile . Après quelques années d'études supérieurs , il retourne au pays et intègre le corps militaire. quelques mois plus tard il est retourné à Madagascar pour un an de spécialisation .Il rentre à nouveaux aux Comores où il gravit l'échelon de lieutenant . Le Jeune lieutenant de 30 ans est mort aujourd'hui dans des circonstances mystérieuses. qu'est ce qui s'est réellement passée entre la santé militaire et l'hôpital El Maarouf de Moroni ? pourquoi les 2 hôpitaux les plus réputés de la capitale s'envoyaient le corps mourant du jeune lieutenant comme une balle de ping pong jusqu'à son dernier souffle ? Azali Abdourahman est rentré de son travail un peu fatigué comme d'habitude . Après avoir reposé normalement le jeune lieutenant n'a pas pu recharger ses batteries . Et ce qu'il croyait d'une simple fatigue se transforme en une sérieuse dégradation de son état de santé . Son père est vite appelé et il est venu immédiatement à son cheveux . on le ramène à l'hôpital ( Santé Militaire ) ce qui est normal pour un officier du corps de l'armée . Les médecins de la santé militaire de Moroni trouvent que son état mérite une meilleur prise en charge et la santé militaire n'était pas équipée pour un patient de son cas . on devrait l'évacuer à El Marouf . Azali le lieutenant de 30 ans est mort entre les deux hôpitaux de Moroni. c'est la santé militaire qui a constaté la gravité de son cas et c'est El-Marouf qui constate le décès . une maladie qui n'a pas duré et une mort suspecte . De quoi est-il mort ,Azali ? Des proches craignent le meurtre . pour le moment le seul indice que nous avons provient du laveur du corps du lieutenant . il aurait constaté des traces qui ressembleraient à un meurtre . Un de laveurs du corps d'Azali Abdourahaman avait confié à quelqu'un que son corps avait des traces de tortures .Pourquoi on ose pas parler alors que le jeune lieutenant est déjà parti ? les gens n'osent pas parler car selon des frères d'arme, le jeune lieutenant aurait été convoqué au bureau de Loukman Azali et beaucoup pensent que les choses ne se sont pas bien passé . Nous continuons à percer le mystère pour tenter de savoir ce qui serait réellement passé. Si la famille du lieutenant veut savoir pourquoi on a fait trainer leur fils entre les deux centres de santé de la capitale ,jusqu'à sa mort, elle va devoir faire le minimum d'autopsie. constater l'état de son corps sans vie avant l'enterrement . Nous savons très bien , pour une source bien informée que Azali Abdourahman était bien surveillé à cause de son comportement qui ne plaisait pas sa hiérarchie. Hahaya va -t-elle vite enterrer le corps du jeune de 30 ans et les probables preuves de ce qui pouvait être un meurtre, demain matin sans la moindre vérification ? Pour le majeur Bapalé les vaillants jeunes d'Anjouan n'ont pas laissé Youssouf Idjihad et son état major enterrer Major Hakim et les preuves de son assassinat. Ils ont déterré le corps pour garder ces pieces à convictions jusqu'au le réveil du peuple . Qu'ils reposent tout en paix, martyres !

Par Soilih Mohamed Soilih  (SMS)

Je n'avais pas voulu réagir sur le vocal qui a fuité de Mzimba adressé à Oubeid. Quant on connait Ibrahim Ali Mzimba depuis l'adolescence, la vie estudiantine et les évolutions socioprofessionnelles, il n'y a rien qui surprend. Il n'y a seulement que la manière d'auto-justification d'Oubeid, par rapport à la déontologie du métier de journaliste qui m'interroge. Ceci dit, je dois avouer que je fais partie (du moins je le pense) des premières personnes à qui Mzimba a proposé sa stratégie. Nous avons échangé plusieurs fois et j'ai voulu comprendre en m'appliquant à moi-même l'adage populaire selon lequel le Bien peut provenir du ventre du Mal. Ce qye ke Saint-Coran nous enseigne, à savoir "ansa an tuhibbu shay'an wa huwa sharrun lakum wa ansa an takrahu shay'an wa huwa khayrun lakum". Mais au fil des échanges, j'ai déduit que cette approche contenait davantage de risques de déperdition que de chances de réussite pour notre combat. Sauf pour mon interlocuteur qui est resté tel qu'en lui-même. Ce que je ne lui reproche pas et je n'en dirais donc pas plus sur ce dernier aspect. À chacun ses choix en son âme, conscience et motivations, devant Dieu, l'Histoire et les hommes. Par contre, bien longtemps auparavant, de hauts responsables du Juwa m'avaient saisi avec la même approche et nous avions échangé à diverses reprises sur les tenants et aboutissants d'une telle stratégie, en partant du fait qu'en politique, on n'exclut rien, sinon, on peut toujours tomber dans ce que Lénine a consacré tout un livre intitulé "la maladie infantile du communisme: le gauchisme". Mais, j'ai fini par conclure que tout en prônant la même stratégie, Mzimba et ses amis n'avaient pas le même objectif que certains leaders de Juwa. Et je le suis rappelé ce qui s'est passé en 2016 (où pendant 1h de discussion dans un avion le président Sambi et moi, nous n'avions pas pu être en accord sur l'appréciation du colonel Azali). De même qu'en 2019, lorsque je navais pas réussi à convaincre les candidats que le Gwa Ndzima n'était pas un simple slogan... Au total, sans aucun mot déplacé, j'ai décidé de couper toute communication avec Mzimba et un de ses amis qui voulut encore plus me convaincre des bienfaits de la vision stratégique pour notre archipel. J'ai informé les responsables de Juwa la campagne bousculerait certainement le processus mais que leur partenariat serait porteur de désillusions. L'affaire du "cadre de concertation" me confirma mes craintes, ainsi que les petites nuances de "diablotin" que le "Petit Bokassa" national introduisait dans chaque engagement, notamment auprès des délégations diplomatiques, celle à propos du rôle de l'armée en particulier. Enfin, une petite enquête me fit mieux comprendre les motivations cachées du Président Iblissa de la CENI, notamment envers Sambi (et un autre candidat), en tant que conseiller juridique à l'assemblée nationale pour le rapport de l'arnaqueur de la CAF réunionnaise. La suite, tout le monde la connaît...

Par Soilih Mohamed Soilih  (SMS)

Je n'avais pas voulu réagir sur le vocal qui a fuité de Mzimba adressé à Oubeid. Quant on connait Ibrahim Ali Mzimba depuis l'adolescence, la vie estudiantine et les évolutions socioprofessionnelles, il n'y a rien qui surprend. Il n'y a seulement que la manière d'auto-justification d'Oubeid, par rapport à la déontologie du métier de journaliste qui m'interroge. Ceci dit, je dois avouer que je fais partie (du moins je le pense) des premières personnes à qui Mzimba a proposé sa stratégie. Nous avons échangé plusieurs fois et j'ai voulu comprendre en m'appliquant à moi-même l'adage populaire selon lequel le Bien peut provenir du ventre du Mal. Ce qye ke Saint-Coran nous enseigne, à savoir "ansa an tuhibbu shay'an wa huwa sharrun lakum wa ansa an takrahu shay'an wa huwa khayrun lakum". Mais au fil des échanges, j'ai déduit que cette approche contenait davantage de risques de déperdition que de chances de réussite pour notre combat. Sauf pour mon interlocuteur qui est resté tel qu'en lui-même. Ce que je ne lui reproche pas et je n'en dirais donc pas plus sur ce dernier aspect. À chacun ses choix en son âme, conscience et motivations, devant Dieu, l'Histoire et les hommes. Par contre, bien longtemps auparavant, de hauts responsables du Juwa m'avaient saisi avec la même approche et nous avions échangé à diverses reprises sur les tenants et aboutissants d'une telle stratégie, en partant du fait qu'en politique, on n'exclut rien, sinon, on peut toujours tomber dans ce que Lénine a consacré tout un livre intitulé "la maladie infantile du communisme: le gauchisme". Mais, j'ai fini par conclure que tout en prônant la même stratégie, Mzimba et ses amis n'avaient pas le même objectif que certains leaders de Juwa. Et je le suis rappelé ce qui s'est passé en 2016 (où pendant 1h de discussion dans un avion le président Sambi et moi, nous n'avions pas pu être en accord sur l'appréciation du colonel Azali). De même qu'en 2019, lorsque je navais pas réussi à convaincre les candidats que le Gwa Ndzima n'était pas un simple slogan... Au total, sans aucun mot déplacé, j'ai décidé de couper toute communication avec Mzimba et un de ses amis qui voulut encore plus me convaincre des bienfaits de la vision stratégique pour notre archipel. J'ai informé les responsables de Juwa la campagne bousculerait certainement le processus mais que leur partenariat serait porteur de désillusions. L'affaire du "cadre de concertation" me confirma mes craintes, ainsi que les petites nuances de "diablotin" que le "Petit Bokassa" national introduisait dans chaque engagement, notamment auprès des délégations diplomatiques, celle à propos du rôle de l'armée en particulier. Enfin, une petite enquête me fit mieux comprendre les motivations cachées du Président Iblissa de la CENI, notamment envers Sambi (et un autre candidat), en tant que conseiller juridique à l'assemblée nationale pour le rapport de l'arnaqueur de la CAF réunionnaise. La suite, tout le monde la connaît...

Lettre à la jeunesse Comorienne. 

 Au cœur de vos rêves, je perçois l'écho de l'angoisse, l'ombre des incertitudes dansant avec votre avenir. Universitaires avides de connaissances, jeunes sans formation, vous formez un tableau de la jeunesse Comorienne où l'espoir se heurte à une dure réalité .Les chiffres froids et implacables, révèlent une vérité amère, 85% de chômeurs. Derrière chaque statistique , il y a des visages , des rêves avortés , des talents étouffés par le poids de l'incertitude. C'est une mélodie déchirante que vous ,la jeunesse des Comores , composez dans le silence de vos aspirations. Permettez moi , de vous offrir ma compassion la plus sincère, un baume pour les cœurs inquiéts et une étreinte virtuelle pour réconforter vos âmes. Vous méritez mieux que l'angoisse qui vous enserre , bien plus que le silence assourdissant qui accompagne vos luttes .Je veux que vous sachiez que vous n'êtes pas seuls dans cette quête d'un avenir meilleur. Ma plume se joint à votre cause , une plume qui aspire à insuffler un vent de changement. C'est engagement profond , une alliance silencieuse avec vos espoirs et vos rêves. Ensemble, nous pouvons œuvrer pour que les choses changent. L'éducation doit être le phare qui éclaire vos chemins, offrant des opportunités équitables pour tous , les portes de l'emploi doivent s'ouvrir à la jeunesse libérant le potentiel créatif qui sommeille en vous ..Je vous exhorte à rester forts , à nourrir la flamme de vos aspirations même dans les moments les plus sombres .Ensemble, nous construirons un avenir où l'angoisse laissera place à l'espoir, où l'incertitude laissera la place à la certitude. Mais la perceptive de changement tant espérée réside entre vos mains, jeunesse des Comores. Il est temps de réaliser que la politique n'est pas une affaire lointaine, mais une arène où votre voix peut résonner avec une force extraordinaire .Engagez vous dans la politique de notre pays, car c'est à travers cette implication que vous détenez le pouvoir de façonner l'avenir que vous méritez. Ne soyez pas simplement des observateurs, soyez les acteurs de la transformation que vous souhaitez voir se produire. Votre énergie, votre vision et votre détermination peuvent être des catalyseurs puissants du changement .La politique peut sembler être un labyrinthe complexe , mais c'est également un terrain fertile pour semer les graines du progrès. .En unissant vos efforts, en participant activement aux débats, en exerçant votre droit , vous influencez les décisions qui sculptent le destin de notre nation. .Ne laisser pas les autres décider pour vous .Soyez les architectes de votre propre avenir. La politique ne doit pas être un domaine réservé à quelques uns, mais plutôt une arène où chaque jeune a sa place. Prenez les rênes de votre destin collectif , forgez des alliances et insuflez un nouvel esprit dans le paysage politique La jeunesse Comorienne peut être la force motrice du changement. Votre voix compte , votre action façonne l'histoire. 

DAOUDOU HALIFA 


le Candidat Bourhane Hamidou qui s'exprime après la proclamation des résultats provisoirs de la CENI

https://youtu.be/0HtwhCTl4w0

Manifestation à la place d'Aix Marseille en soutien aux victimes de la dictature aux Comores . Le jeune Mouslim 21 a été abattu par le fils du colonel Azali Loukman , selon les premières constatations https://youtu.be/ySO869mYOoQhttps://youtu.be/T_32XXoZl1o

https://youtu.be/T_32XXoZl1o 

ACCUEIL TRIONPHAL DE YOUSSOUF MOHAMED BOINA À MARSEILLE

Le totalitarisme est en marche

 Lançons un appel aux sages qui sont soucieux de leur communauté de conseiller les personnes impliquées dans ces événements et les agresseurs de lire l'histoire de la glorieuse ville de Mbéni et d'en tirer les leçons sachant que les conséquences de la transgression sont néfastes. »« Nous accordons la priorité à la sécurité et à la stabilité de notre pays ainsi qu'à la coexistence avec tous les citoyens de notre cher pays, gouvernement et peuple, et nous appelons à la diffusion de la bonté, de la vertu, de l'amour, de la paix et de l'unité, et à la nécessité de respecter l'autorité de l'Etat et préserver la propriété publique et privée. »Ces lignes constituent l'essentiel de la version française d'un communiqué publié le 22 octobre par un groupe d'Ulémas non identifiés intitulé « Déclaration des Ulémas sur les évènements de la ville de Mbéni ». Au lieu de prôner la tempérance et la justice, ces vertus sans lesquelles aucune paix n'est possible et l'unité se réduit à une posture artificielle, ces Ulémas pointent un doigt accusateur sur les victimes de l'arbitraire, les qualifient de transgresseurs et épargnent les véritables responsables des évènements tragiques qui se sont déroulés à Mbéni le 12 octobre 2022.23 blessés par balles réelles dont un enfant de 13 ans et 5 autres personnes dont la gravité des cas nécessitent une évacuation sanitaire. 66 véhicules endommagés, l'hôpital de Mbéni et 121 maisons saccagés par l'armée. 5 maisons de partisans du colonel Assoumani Azali incendiés par les jeunes en riposte des dégâts humains et matériels occasionnés par l'armée.Toute destruction volontaire de biens est condamnable et doit être condamnée sans ambages. Cependant le délit est plus grave et plus révoltant s'il est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique. Les militaires comoriens n'ont aucune excuse d'autant plus que ce sont eux qui ont ouvert les hostilités. Les militaires et les forces de l'ordre sont payés par le peuple pour défendre ses intérêts légitimes et notamment pour assurer sa sécurité. A défaut d'avoir le courage d'appeler un chat un chat et de condamner avec fermeté ceux qui ont manqué à leur devoir d'assurer la sécurité des biens et des personnes, les fameux Ulémas anonymes auraient rendu un précieux service à la Nation s'ils s'étaient tus. En quoi les Mbéniens ont sapé l'autorité de l'Etat, comme le suggère la Déclaration des Ulémas susmentionnée, pour « mériter » une tel déchainement de violence de la part du bras armé de l'Etat ?Que les auteurs de la « Déclaration des Ulémas sur les évènements de la ville de Mbéni » nous expliquent en quoi la tenue du Mawlid Nabawi par la ville de Mbéni l'après-midi constituait une menace pour la sécurité et la stabilité du pays !Que dit la loi N°08-011/AU du 27 juin 2008,notamment son article 3, portant réglementation générale des pratiques religieuses en Union des Comores visée par l'arrêté N°22…… /MJAIFPDHTAP/CAB du 27 ou 28/09/2022 ( la date est à peine lisible) portant restriction de la Célébration de la naissance du Prophète, MOHAMED IBN ABDILLAH ?Cette loi dispose en son article 3 « Sont admises les pratiques religieuses telles que Maoulid, Dhikir, Haouli, Hitma, Hitma, Jeûne du 27 Radjab, Tahalili et Thalkini, en ce qu'elles contribuent à consolider la foi et la cohésion sociale aux Comores". Cette loi qui ne comprend que 10 articles n'attribue aux pouvoirs publics aucune compétence pour fixer les horaires de célébration des pratiques religieuses précitées. Ce qui est curieux c'est que cette loi qui a été instrumentalisée par le colonel Assoumani Azali et ses sbires pour interdire la célébration du Mawlid Nabawi à Mbéni l'après-midi pourra être invoquée demain pour engager des poursuites pénales contre les militaires (ainsi que leurs complices) qui ont perturbé la tenue de cette cérémonie religieuse. En effet, l'article 4 de cette loi énonce «Ceux qui auront intentionnellement empêché ou interrompu l'exercice des pratiques mentionnées à l'Article 3, par trouble ou désordre, cris ou bruits provenant de l'intérieur ou de l'extérieur d'une mosquée ou autre lieu destiné à leur exercice seront punis des peines telles que prévues à l'Article 2 de la présente loi ». Les peines en question sont « un emprisonnement de 5 mois à 1 an ET/OU une amende de 100 000 FC à 500 000 FC »La loi visée par cet arrêté ne donne pas compétence aux pouvoirs publics pour fixer les horaires de célébration des fêtes religieuses. Le gouvernement ne pourra même pas invoquer l'ordre public ou l'intérêt général pour justifier cet arrêté. La liberté étant la règle et l'interdiction l'exception, toute atteinte à la liberté doit être strictement nécessaire ET proportionnée à l'objectif poursuivi. 1. Le gouvernement aurait pu empêcher la perturbation des administrations publiques sans interférer dans l'organisation des Mawlids en faisant contrôler la présence des fonctionnaires à leurs postes de travail par leurs supérieurs hiérarchiques. L'Etat n'a pas à se défausser de ses responsabilités sur des tiers. Il ne reste plus à ce gouvernement qu'à réglementer l'organisation de la vie des couples la nuit pour s'assurer que les maris n'arrivent pas en retard au bureau le lendemain.2. Pourquoi fixer la célébration du MAWLID NABAWI après 19 heures alors que l'administration ferme ses bureaux à 14 heures 30 ?Moins de 15 jours après les tirs à balles réelles contre les Mbéniens et le saccage de leurs biens au motif fallacieux d'avoir « perturbé les administrations publiques » en organisant le Mawlid Nabawi plus d'1 heure après la fermeture des bureaux, le gouvernement déplace tous les fonctionnaires à Foumbouni le mardi 25 octobre dès 9h pour inaugurer une centrale photovoltaïque. L'absentéisme des fonctionnaires n'a jamais été une préoccupation d'un colonel Assoumani Azali qui soumet les fonctionnaires à d'incessants va et viens entre Moroni et l'aéroport international de Hahaya au gré de ses innombrables visites à l'étranger. L'arrêté du ministre des Affaires Islamiques et de la Fonction Publique signé curieusement pour ordre par le ministre des Finances qui est originaire de Mbéni n'avait pas pour motivation « la préservation de la perturbation des administrations publiques ». Le colonel Assoumani Azali et son ministre des Finances Mzé Aboudou Mohamed Chafiou n'ignoraient pas que Mbéni célébrait depuis plusieurs années le Mawlid Nabwi les après-midis. Le tyran voulait par cet arrêté montrer que c'est LUI LE CHEF, que la Loi c'est LUI et qu'il fait ce qu'il veut. Nous sommes dans un cas classique de détournement de pouvoir loi. En prenant cet acte réglementaire, le gouvernement n'a poursuivi aucun but d'intérêt général. Il a en réalité obéi à des préoccupations d'ordre privé, en cherchant à assouvir une vengeance à l'égard d'une ville qui ne courbe pas l'échine. C'est plutôt la ville de Mbéni qui se montre soucieuse de l'intérêt général en organisant depuis plusieurs années le Mawlid Nabawi les après-midi. En effet, il est plus sage, dans un pays aux routes défoncées et paralysé par les coupures électriques, de faire déplacer des invités des 4 coins de Ngazidja l'après-midi plutôt que la nuit. Par ailleurs, organiser le Mawlid l'après-midi, c'est faire des économies au niveau de l'éclairage de la place publique où se tient la cérémonie religieuse. Nul doute que cet arrêté ne poursuit aucun motif d'intérêt général. Il a été pris uniquement pour punir une ville en particulier. Le détournement de pouvoir est aussi visible qu'un nez au milieu de la figure et aurait pu suffire à faire annuler cet arrêté pour excès de pouvoir par le juge des référés. Pourquoi les Mbéniens ne l'ont pas fait ? Je pense qu'ils n'ont pas jugé utile de saisir une justice aux ordres. Une perte de temps et d'argent pour un résultat connu à l'avance. Le juge saisi, sous la dictée de Beit-Salam, se serait déclaré incompétent ou aurait donné « RAISON » au tyran. Si les honnêtes citoyens s'amusaient à attaquer en justice toutes les lois et tous les actes réglementaires loufoques de ce régime, ils n'auraient que ça à faire. Le colonel Assoumani Azali est capable de décréter que tous les Comoriens doivent porter une chemise de couleur marron tous les mardis. Ceux qui ne s'habilleraient pas ainsi parce qu'ils n'aiment pas cet accoutrement ou tout simplement parce qu'ils n'ont pas les moyens de s'acheter cet habit seraient tabassés par l'armée et jetés en prison pour rébellion. Les juges leur donneraient raison et certains Ulémas viendraient à la rescousse de ce décret avec le fameux « wa ulil amri minkum ».Des ulémas plus objectifs ont explicité le devoir d'obéissance aux détenteurs de l'autorité en énonçant que dans le domaine du Mubah, c'est-à-dire celui des actes qui ne rapportent ni récompenses ni péchés, l'obéissance n'est obligatoire que dans ce qui renferme une maslaha shar'iyya, un concept que nous pouvons assimiler à la notion d'intérêt général. Ils s'appuient sur un hadidh du Prophète qui dispose que : "L'obéissance ne se fait que dans le Ma'rûf", c'est-à-dire dans ce qui est reconnu comme étant raisonnable. Un arrêté qui interdit la célébration du Mawlid Nabawi avant 19 heures dans un pays où les citoyens se déplacent d'un village à l'autre sur des routes non éclairées et en piteux état pour participer à la célébration du Mawlid Nabawi et où, du reste, les bureaux ferment à 14 heures 30 minutes, s'inscrit-il dans un maslaha shar'iyya ? Evidemment NON. C'est plutôt la ville de Mbéni qui est dans le maslaha shar'iyya. L'édiction de cet arrêté n'est pas un acte anodin et isolé. Il s'inscrit dans le cadre d'une stratégie d'instauration à bas bruit d'un système totalitaire, c'est-à-dire une idéologie qui « nie toute autonomie à l'individu et à la société civile et s'emploie à les supprimer autoritairement au profit d'une vision moniste du pouvoir et du monde ; recouvrant tous les aspects de la vie humaine, cette idéologie fonde et justifie la domination absolue de l'État ».Pour terminer, nos honorables ulémas feraient œuvre utile s'ils rappelaient à leur « imam » ce hadith du Prophète « Le pire des bergers est celui qui brise ».


                       Abdourahamane Cheikh Ali#

Les coulisses. 

AZALI BIENTÔT NOTRE PASSÉ.Qui va lui succéder ? La France a tranché. Pour Macron,Il n'y a plus rien à espérer du colonel au cinq coups d'état. Les révolutions de coups d'état en Afrique francophone accompagnées par les peuples ivres de souveraineté obligent la France à sauver ce qui peut l'être dans le continent noir. Le Tchad ,Le Sénégal , la Côte d'Ivoire , les Comores,le Benin et le Cameroun sont dans l'incertitude. Tout ces pays ont un sous sol ou fond marin riche en matière première. Certains sont dans des zones géostratégiques. Les Comores dans le canal de Mozambique intéressent et préoccupent la France. Les comoriens est un peuple pacifique. La France peut télécommander l'archipel sans problème. La conservation de Mayotte sa départementalisation puis l'humiliation du peuple comorien à travers l'opération Wuambushu récemment en est un parfait exemple de la passivité de cette population qui a perdu tout repères. Fort heureusement ce sont les peuples africains qui aspirent à une vraie liberté de toute l'Afrique. Les Comores seront libérés comme tout les peuples noirs d'Afrique. La seule question est : Dans combien de temps ?Si la France garde Azali en 2024, la révolution comorienne s'imposera en 2024 grâce au travail panafricain qui accélère son agenda .Si le travail panafricain ne suffit plus,la bénédiction de Poutine qui pose ses pions aux Comores depuis un certain temps en attendant le moment propice , finira par arriver à Moroni. Pour illustrer nos écrits, rappelons nous que le jour de la visite de l'ambassade de France à la CENI,https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fyoutu.be%2FwvT-ShCyq0k%3Fsi%3DtB_OVDv1NS0PxikI%26fbclid%3DIwAR0qt0Y3hgB6lZCz7p0SwB_ycfiuMBm80F3oefDarDwAfu-DKQg5O7hYVsQ&h=AT30sSzkJdQC-StphuizOQPf8reXxVlH0CTm5MCXhGbkxEBtv1nDaZGt5HRntGtQ-2Bvwmyf-e6bpzNQZ9pDp20ZR7G-THlkQ10ZcJE8gpGNqDCPgZPwmjQHJ-Ku6nBQtMepI5DpuQ&__tn__=-UK-R&c[0]=AT1PTXc5V7k3qcGwOKlBq5nLhetNnLnIuPzNzZRC6uXGi9ovtavdA_1ZXSSSNxV8ZpC3MRFGrZmmyOcJ2BZe-FX0hHgTnjCtXxbINCJP8H4_g3Tjx1r8_8od0IVY85JOWHURSJjgtn_2B2WSGLkNWp7d0xwjQMfiBnHDdZ0ZVA3Be-BDZMcSHP6C5nNAkzQSzRm7iKps7Jga5A un diplomate russe du ministère du tourisme a organisé une conférence de presse à Moroni pour exposer la vision touristique russe en Union de Comores. https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fyoutu.be%2FUXAdQeM6Fxk%3Fsi%3DQBKI0JBdO735D2M6%26fbclid%3DIwAR3j42evSgklhtZLPh0VnawTSFIhuvhiddRBbUoumvyJ4qQASz9KkY1RVjQ&h=AT0w17haOPxVN75_1wVB4eedY-bn7tM4zoQypq3YMHM7Zk-0bftXHzi5ty_d56i5jjxalJwKDzssfLb9UG9lYod5dyg9sO-9V3K72kS-SbPuDsdNCDtOzFCanGLauF6Wj24DUazwZA&__tn__=-UK-R&c[0]=AT1PTXc5V7k3qcGwOKlBq5nLhetNnLnIuPzNzZRC6uXGi9ovtavdA_1ZXSSSNxV8ZpC3MRFGrZmmyOcJ2BZe-FX0hHgTnjCtXxbINCJP8H4_g3Tjx1r8_8od0IVY85JOWHURSJjgtn_2B2WSGLkNWp7d0xwjQMfiBnHDdZ0ZVA3Be-BDZMcSHP6C5nNAkzQSzRm7iKps7Jga5A .Coïncidence ou jeu diplomatique interposé ?Ce qui est lisible pour les deux diplomates c'est le style. Le style impérial pour la France qui exhorte les Comores à aller voter en 2023 et surtout à dissuader la population à l'abstention ; et Le style de partenariat du diplomate russe qui déclare être prêt à travailler avec les Comores si on le souhaite . Aucun signe de rapport de domination. Ce qui caractérise les relations russes avec les autres nations.Les images de l'ambassade de France au Niger chassé comme un petit voleur voyou ne font que donner raison à Macron . Dans ce nouveau monde multipolaire et une diplomatie russe hostile aux intérêts de la France en Afrique, la France ne doit pas se contenter de mettre en tête des pays Africains, les seuls dirigeants marionnettes à la merci de Paris.Sans une petite partie corrompue de la population qui aiderait les dictateurs à respirer la partie sera perdue d'avance pour Paris et sa marionnette. Le Cas Bazoum ou au Mali où les populations ont immédiatement accompagné les militaires montrent que les dictateurs seuls ne parviendront pas. Si le Sénégal n'est pas encore tombé c'est grâce à une bonne partie d'oligarques sénégalais qui résiste. Au Tchad la répression sévère de l'armée favorise les panafricains. Chez nous Aux Comores le risque est réel. La France a peur d'un soulèvement populaire car il sera accompagné d'une punition de la France que les comoriens estiment que c'est elle qui maintient Aazali depuis son coup d'etat de 2019. si les relations entre Mayotte et les 3 autres îles ne sont pas normalisées, les risques restent réels. Notamment la circulation de biens et des personnes. Pour rappel,Le visa Baladur enterre chaque année des centaines de comoriens. Alors qui peut faire mieux qu'Azali le travail de stabilité ? Fakri Mdradabi l'agent de la CIA ou un civil qui ne sera pas capable de réprimer la population pour la maintenir à la soumission ?Fakri lui a déjà fait l'entretien d'embauche et s'est déjà dit prêt à la fonction. Mais d'autres militaires à la retraite sont consultés à Paris. Un militaire de haut rang a dit clairement à la France qu'il n'est pas prêt à travailler avec Fakri Mdradabi. Par contre si on donne le pouvoir à un civil technocrate, il est plus facile de travailler avec la population. Said Abass Dahalane est mis en alert à plusieurs reprises. Mais cette fois ci le temps presse pour tout le monde. Fakri a réussi à convaincre Razida à faire adhésion à son projet , pendant que Mzimba court dans tout les sens pour distribuer les courriers dans les boîtes aux lettres à Maroni comme un facteur de DHL. Pourquoi Mzimba fait le travail inutile alors que les cartes sont déjà distribuées ? se demande une grande partie de la population . Azali sait que c'est fini pour lui mais à la tête de la gendarmerie de Ngazidja,son fils LOUKMAN est capable d'ex-filtrer son père si la France décide de l'abandonner. Pour Mzimba son travail c'est de déstabiliser l'opposition. Ce qu'il fait très bien jusqu'à présent. pourquoi ? Si une vraie opposition se présente à l'élection, il n'aura pas de soulèvement populaire après la réélection d'Azali au fraude massif. Le peuple n'acceptera jamais d'aller se battre pour des candidats qui savaient qu'ils n'avaient pas même l'autorisation légale de contester les résultats, mais qu'ils sont allés quand même. Les faux candidats se retrouveront en face de la CENI et l'armée. Mzimba va déposer un recours pour tuer le temps comme il a l'habitude de le faire. Après moins de deux semaines la pression va tomber et les pieds de faux candidats reviendront sur terre avec la langue de bois. Par contre si le camp de la résistance garde leur moyens,( argent, les militants…) il va pouvoir se battre avant , pendant et après les résultats. C'est ce que craint le Quai d'Orsay. Ce scénario est celui qui plait au nouveau monde multipolaire et les panafricanistes. Il ne faut pas utiliser des munitions pour rien alors que la guerre arrive. il faut geler la guerre comme on dit. c'est la position de Abdallah Agoi et Youssouf Mohamed Boina . Cette position est renforcée par le COMRED de Said ABAS DAHALANE et du chef l'opposition ( front commun ) Mamadou . YOUSSOUF Mohamed Boina est présenté par ses adversaires comme un intégriste devant l'ambassade de France. Celle ci a vérifié tout les renseignements jusqu'au haut sphère de l'Arabie Saoudite où YMB a fait ses études. RAS . Sa famille, frères, nièces, neveux vivant en France sont des français très bien intégrés. La majorité travaillant en France sont des ingénieurs qualifiés et expérimentés. Son probable secrétaire général du gouvernement travaille à Lyon où il a eu ses diplômes en droit et gestion. La France n'a pas peur de l'homme du peuple. Pendant que Mzimba , Kiki et tout les caniches du France/ Afrique donnent de garanties aux services de renseignement français, Youssouf Mohamed Boina reste pragmatique. La France est pour le moment notre partenaire principal et seul la mort peut basculer une personne de l'enfer au paradis ou vis versa. Il nous faut donc travailler pour une transition pacifique avec notre partenaire historique car tout ne se règle pas par la guerre. La France lui fait plutôt confiance par rapport aux menteurs qui n'ont pu rien faire et qui ont provoqué les colères des peuples africains. Pour un petit rappel, avant de prendre l'avion vers Paris Mamadou a pris soins de présenter son représentant Youssouf Mohamed Boina , à l'ambassade de France. 2 réunions sont organisées à Iconi et Mamadou a été claire sur YMB , devant la chancellerie. Il a fait ses études en droit en Arabie Saoudite. Son point fort, il est patient et ne trahit jamais. Alors si on vous demande pourquoi Mchangama, Mzimba et beaucoup d'autres détestent Youssouf Mohamed Boina, vous avez une partie de la réponse ici. Et Msaidie et les autres que vont -ils devenir ? Ça sera la prochaine investigation

Daula Ya Haki - Comores

Est un mouvement de la société civile, créé par la diaspora comorienne en France, en mars 2017.

Le terme " Daula Ya Haki - Comores" désigne Etat de droit aux Comores.

Notre mouvement a deux principaux objectifs :

- Lutter contre une dictature particulièrement féroce, qui s'installe aux Comores depuis l'arrivée au pouvoir de Assoumani Azali, en mars 2016.

- Lutter pour le respect des droits humains et  pour un développement socio économique de l'archipel des Comores.

Notre mouvement comptabilise aujourd'hui plus de 100 000 personnes reparties dans le monde entier. Il s'agit des Comoriens qui ne sont pas d'accord avec la manière dont notre pays est gouverné par Azali Assoumani et ses amis depuis 2016.

Agoi refuse une offre de 60 000€ de Me Mzimba contre le ok pour le vote de 2024 . 

Azali est dans une situation d'impasse . La géopolitique mondiale , en général et africaine en particulier oblige la France à faire des ajustements diplomatiques . Poussée à la sortie au Mali , expulsée au Burkina-Faso et au bout de l'humiliation au Niger aujourd'hui, Macron n'a plus le droit à l'erreur pour le reste de ce qu'il appelle son pré-carré français . Au Comores le colonel 5 fois putschiste Azali Assoumani accomplit, sans faute son devoir de nègre de Maison et un petit peuple inconscient est un oasis dans un désert secoué par des révolutions des peuples africains qui se lèvent comme un seul homme pour dire : Merci à la France notre colon de toujours mais nous ne voulons plus de vous . La France travestit son échec de la France-Afrique en ce qu'elle qualifie d'un sentiment anti-frança

Au Comores Azali tient bon malgré les secousses enregistrés à cause de l'opération WUAMBUSHU . Mais quand le groupe Wagner ronde autour d'un pays francophone, Macron a de quoi à s'inquiéter. Les mercenaires de Poutine sont chez le voisin des Comores , Madagascar et les relations entre les deux pays ne sont pas bonnes à cause des lingots d'ors malgaches saisis à Moroni et disparus depuis jusqu'à maintenant ; alors que la grande île n'a pas arrêté de demander le transfert de son trésor , sans résultat.

La France n'ignore pas les risques que représentent une candidature du colonel Azali Assoumani à une éventuelle élection en 2024. Le Quai d'Orsay réfléchit entre régler le problème Azali une bonne fois pour toute ou pousser encore un peu plus le bouchon pour parapher ce qui peut avec Azali . 1 milliard de franc comorien est déjà débloqué pour avoir les signatures de la vraie opposition pour une élection en 2024 . Les principaux cibles étaient donc les durs de la résistance contre le régime illégitime d'Azali . Mr Youssouf Mohamed Boina et Abdallah Agoi le journaliste qui vient d'être gracié après 2 ans de prison . Agoi refuse l'offre de Me Mzimba de 60 000€. je rappelle ici que Me Mzimba Ibrahim Ali est envoyé en mission de déstabilisation du Front commun après l'échec cuisant de KIKI de la République. Plusieurs rencontres entre Mzimba et Oustadh Youssouf Mohamed Boina sont organisées entre les deux magistrats de convictions diamétralement opposées. Me Mzimba a fait ses études de droit en France alors que Oustadh Youssouf Mohamed Boina a fait le même cursus mais à Riad en Arabie Saoudite. Pendant que l'ex ministre de affaires étrangères jure au nom de l'argent, le pauvre Oustadh Youssouf Mohamed Boina ,lui jure au nom du peuple comorien. " je n'avais pas d'argent pendant 2 élections ,en 2016 et en 2019 ; mais je les ai gagnées grâce au soutien du peuple comorien . je me battrais donc pour un état de droit aux Comores car la confiance du peuple , je l'ai . il n'y a qu'un état de droit aux Comores qui reste pour faire respecter la voix du peuple ; Merci." Me Mziba a repris son sac de 80 000€ et c'est au téléphone le soir que l'avocat du barreau de Moroni traite Oustadh Youssouf de Mdradingoni. ( un homme sans civisme) . 

Certains lieutenants du front commun sont déstabilisés mais les racines mères de l'entité restent solide . Me Mahamoud va remplacer Mr Razida ; Un homme de talent et du charisme va remplacer un homme éloquent mais très bavard. lors de l'entretien sur facebook fm, Sabikia est un peu perdue face au probable rivale Me Maliza Youssouf Said qui qualifie les mamans de Marseille de souleveuses de cercueils. l'élue de Marseille n'a vu, de la communauté comorienne de France qui est allée jusqu'à Geneve devant le siège de l'ONU pour demander un état de droit aux Comores (( daula ya haki) que de joueuses avec cercueils . A-t-elle pris la leçon devant Azali ? Pour diriger les comoriens il faut les insulter sans retenus peut être.

Daula Ya Haki - Marseille

61 000 personnes uniquement à Marseille ! 

Sur les 80 000 ressortissants comoriens à Marseille, plus de 75% soutient le mouvement Daula Ya Haki. Aujourd'hui Marseille occupe une place de premier ordre. On estime que Marseille compte 61 000 membres du mouvement, ce qui représente presque un habitant  sur dix de la capitale phocéenne . 

Marseille, reste donc le fieffe du mouvement DYH-Comores. 

Les raccourcis